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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 15:59

Une vidéo vraiment très inspirante sur les "incroyables comestibles". Les sous-titres en français sont disponibles.

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21 avril 2014 1 21 /04 /avril /2014 21:36

Une vidéo un peu longue (2 heures) mais très instructive faite par Gabriel Rabhi, un des fils de Pierre Rabhi. Cette vidéo explique de manière assez simple les mécanismes financiers qu'il nous faut comprendre pour comprendre la société d'aujourd'hui et comprendre pourquoi le système va naturellement à sa perte.

N'hésitez pas non plus à consulter le site de Gabriel Rabhi :

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15 septembre 2012 6 15 /09 /septembre /2012 14:10

Décidement ceux qui ont fait de l'argent leur seule raison de vivre n'abandonnent pas l'idée de sacrifier le monde et les êtres pour gagner toujours plus. en étant bien conscient que ce modèle économique n'est pas pérenne mais puisque nous ne sommes pas éternel l'appat du gain peut rester une vision à très court terme... Les suivants devront se débrouiller...

 

enfin bref, voilà encore un traité de libre échange qui donne plus de droits aux multinationnales qu'aux états. son petit nom: TPP (Partenariat Trans-Pacifique en anglais). Un traité qui permet de passer outre tout ce qui peut être sécuritaire, environnemental ou sanitaire. Un seul mot d'ordre, l'argent, l'argent, l'argent.

 

Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez pous référer aux liens ci-dessous et si vous êtes comme moi convaincus qu'il ne faut pas laisser faire signer la pétition:

 

http://www.avaaz.org/fr/3_jours_pour_stopper_les_multinationales_etoile_de_la_mort/?biMlvab&v=17880

 

 

 

Pour plus d'information sur ce traité

 


Négociations commerciales: une fuite plonge l'administration Obama dans l'embarras (Huffington Post)
http://www.huffingtonpost.fr/2012/06/16/negociations-commerciales-fuite-administration-obama-embarras_n_1602742.html?utm_hp_ref=international

Le TPP, cheval de Troie du copyright américain en Asie Pacifique (PC INpact)
http://www.pcinpact.com/news/73424-le-tpp-cheval-troie-copyright-americain-en-asie-pacifique.htm?vc=1

Levée de boucliers numériques contre le Partenariat Trans-Pacifique (Pieuvre.ca)
http://www.pieuvre.ca/2012/07/05/tpp-web-politique/

L'accord de libre-échange transpacifique sera tout sauf libre (The Guardian, en anglais)
http://www.guardian.co.uk/commentisfree/2012/aug/27/pacific-free-trade-deal

Hollywood se met d'accord avec les négociateurs du TPP; les groupes de défense des citoyens sont refoulés de l'hôtel (TechDirt, en anglais)
http://www.techdirt.com/articles/20120131/23161417605/hollywood-gets-to-party-with-tpp-negotiators-public-interest-groups-get-thrown-out-hotel.shtml

Tableau comparatif: TPP versus ACTA (en anglais)
http://infojustice.org/wp-content/uploads/2012/03/table-03222012.pdf

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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 12:36

J'admets que c'est parfois un peu difficile de lire les écrits des économistes, et qu'en plus c'est souvent long, mais là, je trouve que ça vaut le coup de passer un peu de temps sur le site des économistes atterrés. Ne serait-ce que pour lire leur manifeste et lire leur analyse sur 10 fausses évidences concernant les marchés financiers.

 

 

FAUSSE EVIDENCE N°1 :

LES MARCHES FINANCIERS SONT EFFICIENTS


FAUSSE EVIDENCE N°2 :

LES MARCHES FINANCIERS SONT FAVORABLES A LA CROISSANCE ECONOMIQUE


FAUSSE EVIDENCE N° 3 :

LES MARCHES SONT DE BONS JUGES DE LA SOLVABILITE DES ETATS
 

 

FAUSSE EVIDENCE N° 4 :

L’ENVOLEE DES DETTES PUBLIQUES RESULTE D’UN EXCES DE DEPENSES


FAUSSE EVIDENCE N°5 :

IL FAUT REDUIRE LES DEPENSES POUR REDUIRE LA DETTE PUBLIQUE


FAUSSE EVIDENCE N°6 :

LA DETTE PUBLIQUE REPORTE LE PRIX DE NOS EXCES SUR NOS PETITS-ENFANTS


FAUSSE EVIDENCE N°7 :

IL FAUT RASSURER LES MARCHES FINANCIERS POUR POUVOIR FINANCER LA DETTE PUBLIQUE


FAUSSE EVIDENCE N°8 :

L’UNION EUROPÉNNE DÉFEND LE MODELE SOCIAL EUROPÉEN


FAUSSE EVIDENCE N°9 :

L’EURO EST UN BOUCLIER CONTRE LA CRISE


FAUSSE EVIDENCE N°10 :

LA CRISE GRECQUE A ENFIN PERMIS D’AVANCER VERS UN GOUVERNEMENT ECONOMIQUE ET UNE VRAIE SOLIDARITE EUROPEENNE

 

 

Si vous avez du temps et surtout l'envie n'hésitez pas.

 

l'adresse de leur site:

 

http://www.atterres.org/

 

 

 

 


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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 13:36

Croire que le système financier peut se réguler lui-même, c'est comme imaginer qu'une centrale nucléaire puisse fonctionner toute seule. Dans les deux cas si on laisse faire, le système s'emballe et explose.

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25 octobre 2008 6 25 /10 /octobre /2008 14:17
si vous avez une heure devant vous, n'hésitez pas à regarder ce petit film d'animation très bien fait, qui vous permettra d'avoir un regard plus critique sur la crise que nous sommes en train de traverser. Il vous éclairera sur ce qu'est notre système monétaire, et pourquoi les gouvernements, malgrès leurs discours n'ont pas spécialement envie de rembourser la dette nationale mais plutôt de l'augmenter.


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12 octobre 2008 7 12 /10 /octobre /2008 08:31
Parait que c'est la crise en ce moment... J'ai trouvé ce Tee-shirt sur le net, et en temps de crise, j'imagine qu'il va bien se vendre...


bon en tout cas, je ne m'inquiète pas pour tous ces grands financiers qui on perdu beaucoup d'argent, les actions en bourses sont quasiment toutes sous-évaluées, ils n'attendent donc que le premier signal pour tout racheter en masse et refaire des bénéfices.

Espérons quand même que les règles du jeu vont changer!

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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 21:12
J’ai commencé il y a quelques jours un livre passionnant:

Vers un nouveau capitalisme de Muhammad Yunus



Pour ceux qui ne connaissent pas
Muhammad Yunus, c’est un économiste qui a reçu le prix nobel de la paix. Il a, par une très grande détermination, réussi à sortir des millions de personnes de la pauvreté en créant le micro-crédit. L’histoire du micro-crédit mériterait à elle seule un article, mais aujourd’hui, je préfère parler de l’idée qu’il développe dans son nouveau livre, le “social-business”.

Le Social-Business quest-ce que c’est?

Il n’existe pas de traduction française pour cette expression. “entreprise sociale” ne pouvant traduire ce concept. L’idée d’un social-business est de faire une entreprise dont le but n’est pas de maximiser le profit. La raison d’être d’un social-business est d’améliorer la qualité de vie des personnes. Attention, on ne dit pas que ce doit être une entreprise qui gaspille ou qui n’est pas rentable. On dit juste que l’entreprise ne cherche pas à faire du profit. Elle doit tout de même être efficace et autonome financièrement.

Par exemple, si nous prenons une entreprise standard, son unique but est de faire du profit au bénéfice d’un ou d’une poignée d’actionnaires. Si par exemple cette entreprise fabrique des produits, elle cherchera à acheter au plus bas prix ses fournitures, payer le moins possible ses salariés et vendre le plus cher possible son produit fini. Le tout pour dégager une marge suffisante pour maximiser le profit une fois les frais de fonctionnement déduit.

La même entreprise en social-business, aura les mêmes frais de fonctionnement, les mêmes contraintes, mais elle se différenciera par le fait que la volonté de ne pas faire de bénéfice lui permettra d’acheter ses fournitures au prix le plus juste pour son fournisseur, de payer ses employées au prix du travail et de la richesse qu’ils produisent et de vendre le produit fini à un prix raisonnable. L’entreprise n’est plus créer pour le bien d’une seul ou d’une minorité, elle est créée pour le bien du plus grand nombre.

On peut se dire, “c’est bien beau mais ça ne marchera pas!” Mais là encore, comme pour le micro-crédit, Mr Yunus ne perd pas de temps en parole et met ses idées en pratique. Il a déjà créé plusieurs social-business et a même réussi à convaincre Danone de se lancer dans l’aventure en créant un social-business au Bengladesh pour pouvoir fournir des yaourts enrichis en vitamines et minéraux aux enfants souffrants de malnutrition.

Je vous encourage vivement à lire ce livre si vous en avez l’occasion, car vraiment il fait parti des livres qui me font penser que tout n’est pas perdu et que nous avons encore les moyens de croire en un monde meilleur.

Merci Mr Yunus.
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20 décembre 2006 3 20 /12 /décembre /2006 00:01
2 milliards de dollars par jour... C’est une jolie somme non? Imaginez un instant si les pays en voie de développement pouvaient disposer d’une telle somme. Il leur serait assez facile d’engager des mesures pour assurer leur développement. On entend souvent dire qu’on donne déjà bien assez aux pays pauvres. C’est vrai, mais comparé à 2 milliards par jour ce qu’on donne c’est plutôt ridicule... D’un autre côté, pourquoi comparer 2 milliards par jour avec les fonds que l’on donne aux pays pauvres. Ce serait énorme de leur donner une telle somme. Nos économies bien portantes n’y résisteraient pas!

et pourtant, 2 milliards par jour c’est ce que payent les pays pauvres aux Etats-Unis... Oui oui vous avez bien lu! Pas loin de 750 milliards de dollars passent chaque année des pays pauvres aux Etats-Unis. Comment est-ce possible?

Pour comprendre, il faut comprendre comment fonctionne le système financier mondial. Le monde est un ensemble de pays ayant chacun sa monnaie. Lorsque avant les états souhaitaient stocker de la valeur, ils stockaient de l’or. La monnaie d’un pays et l’or qu’ils détenaient était liés. Cela permettait de se faire une réserve qui avait de multiples usages. Puis un beau jour, on a décidé que l’étalon or n’était plus nécessaire. L’important, c’était la confiance qu’une monnaie inspirait. A partir de ce jour, dès qu’il s’agissait de faire une réserve de valeur, on n’utilisait plus de l’or, mais une monnaie dans laquelle on avait confiance, c’est à dire qui ne perdrait pas sa valeur avec le temps.  Cette monnaie c’est le dollar américain. Le dollar américain est devenu une monnaie de réserve. Chaque état ayant besoin de se faire une réserve pour stabiliser sa monnaie, faire face à ses emprunts etc. doit se procurer des dollars. Pour cela, il achète des bons du trésor américain (ce qu’on appelle des T-bills). Prendre des T-bills revient donc à prêter de l’argent aux Etats-Unis.

Lorsqu’on fait un prêt à sa banque pour acheter une maison, la banque demande des garanties (hypothèque, caution bancaire, etc.). Pour un état, c’est différent. Un état est souverain, on ne peut pas hypothéquer son pays. On demande donc à un état d’avoir une réserve égale à sa dette en dollars. De plus, si une entreprise du pays pauvre emprunte de l’argent, l’état doit également augmenter sa réserve d’un montant égal pour garantir le prêt. En deux mots, pour emprunter 100 millions aux Etats-Unis, on est obligé de prêter 100 millions aux états-unis... L’opération pourrait être neutre, mais non, car la différence de taux n’a rien à voir. Si les états-unis prêtent à 20%, ses t-bills eux ne rapportent qu’entre 1 et 5%... Cherchez l’erreur! Grâce à cette différence de taux, ce sont des milliards qui passent des pays pauvres aux états-unis. Les états-unis en sont les grands bénéficiaires.

Attention, si les pays pauvres le font, c’est que cela à quand même quelques avantages. Notamment en terme de stabilité de leur monnaie. Mais ce système ne peut pas marcher indéfiniment. tous les économistes sont d’accord, le système s’autodétruit petit à petit. Plus les pays prennent des dollars pour faire leur réserve, et plus la confiance dans le dollar s’amenuise... De plus, la tentation est grande pour un pays dont la monnaie est la monnaie de réserve de s’endetter de plus en plus. A plusieurs reprise, les états-unis ont financé des réductions d’impôts par ce mécanisme.

Aujourd’hui, la question n’est pas de savoir si ce système marche ou pas, tout le monde est d’accord pour dire qu’il ne marche pas, la question est de savoir comment sortir de ce système sans rentrer dans une récession mondiale. Si tout le monde perd sa confiance dans le dollar en même temps, les états-unis devront rembourser cette dette énorme. De plus un pays qui détient énormément de réserve en dollars (par exemple la chine) serait tenter de limiter sa part en dollars mais si elle vend trop de dollars elle fait perdre de sa valeur aux dollars qui lui restent. Tout le monde est bloqué. Tout le monde se retrouve ainsi tributaire de la consommation américaine. Tant que les américains consomment à outrance, on a l’impression que le système fonctionne. Même si chaque jour il prive les pays en voie de développement d’environ 2 milliards de dollars. C’est pour cela que tout le monde est attentif aux indicateurs de l’économie américaine et notamment sa consommation. Il existe pourtant des solutions pour sortir de ce système pervers, et le pire c’est qu’elles sont simples. Mais revenir à un système équitable reviendrait à faire perdre cet avantage énorme au états-unis. Et pour l’instant toute tentative dans ce sens a été stoppé net par le FMI.

L’argent que les pays en voie de développement sont obligés de mettre dans leur réserve, c’est autant d’argent qu’ils n’utilisent pas pour l’éducation, la santé, le développement. Il est important de bien le réaliser lorsqu’on prétend qu’on donne suffisamment d’argent aux pays pauvres car le prix qu’ils sont obligés de payer pour soutenir la consommation occidentale est énorme. L’idée n’est pas de leur donner plus, mais de moins leur prendre. Maintenant il est aisé de comprendre qu’un pays pauvre qui possède des ressources préfère laisser une compagnie étrangère exploiter ses ressources plutôt que de laisser investir une compagnie nationale qui obligerait ainsi le pays à bloquer de grosses sommes d’argent dans sa réserve.

Il est indispensable si l’on veut revenir à un système équitable de remettre le système à plat. Le système actuel n’est plus viable, les seuls à en profiter sont les pays occidentaux, et on comprend aisément pourquoi ils ne sont pas pressés de changer de système même si  celui-ci s’autodétruit au fur et à mesure.

Puissions-nous revenir à la raison à temps.
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20 novembre 2006 1 20 /11 /novembre /2006 07:35
Voici le résumé d’un texte que j’ai trouvé sur le net à l’adresse:

http://www.cerna.ensmp.fr/Documents/PNG-AlterEco-06-02.pdf

Spéculer, c’est prendre délibérément un risque de prix c’est-à-dire acheter aujourd’hui un actif financier ou tout autre bien en espérant que son prix va monter, et qu’on pourra le revendre demain avec profit. La spéculation fait souvent l’objet d’une condamnation morale. Pourtant, sans l’existence de spéculateurs, les entreprises ne seraient pas à même de s’assurer contre les effets des fluctuations du prix des matières premières, des devises ou des taux d’intérêt. Mais la spéculation n’aggrave-t-elle pas le mal en accroissant l’instabilité des marchés ? Lorsqu’un actif voit son prix déterminé par des mécanismes économiques stables et solidement enracinés dans l’économie « réelle », la spéculation introduit juste un peu de volatilité dans l’évolution des prix, sans grandes conséquences. Mais lorsque ce n’est pas le cas, par exemple pour les taux de change, la spéculation peut se révéler profondément déstabilisante.



J’ai trouvé ce texte en cherchant des infos sur la spéculation que j’ai tendance à condamner assez vite. Ce texte a eu au moins l’avantage de modérer mon propos. Initialement je ne pensais que du mal de la spéculation, le problème est cependant plus complexe...

Les plus courageux pourront lire le texte dans son intégralité, pour les autres, passons directement à la conclusion de ce texte:

En conclusion : à partir du moment où l’on reconnaît que le fonctionnement des marchés peut conduire à une multiplicité d’équilibres, ou plutôt de trajectoires, pour considérer les choses en dynamique, la spéculation ne peut plus être considérée comme une activité nécessaire engendrant tout au plus un peu de volatilité. Elle est en effet capable de faire changer de trajectoire des économies entières. Prétendre la supprimer relève cependant d’une incompréhension de son origine : elle est inévitable dans une économie de marchés puisque l’avenir est incertain. De plus, elle est, dans bien des cas, nécessaire à la fonction d’échanges de risques que doivent pouvoir remplir les marchés. Tout au plus peut-on, dans les cas où son rôle déstabilisant est avéré, trouver des modes de régulation étatiques spécifiques qui permettent d’en limiter les dégâts.


Lorsqu’elle est faite avec la motivation de limiter les risques économiques encourue pas les sociétés humaines, la motivation est louable. On tente au maximum d’éviter les situations qui pourraient déboucher sur une crise.
Par contre, dès qu’il s’agit pour quelqu’un qui dispose d’une énorme capacité financière de gagner de l’argent, je rejoins complètement la conclusion du texte cité pour que l’état intervienne pour empêcher certaines manoeuvres financières.

Illustrations
Concernant une matière première quelconque, le marché est équilibré. L’offre est la demande ont positionné le prix de celle-ci sur son prix d’équilibre. Arrive un nouvel acteur capable d’acheter la quasi totalité de la production de matière première. Une fois cet achat fait, ce nouvel acteur revend immédiatement cette production aux demandeurs habituels mais évidemment à un prix bien plus élevé pour empocher la différence.
Cette manoeuvre pour gagner de l’argent devrait être complètement interdite par les autorités étatiques car elles ne servent que des intérêts personnels au détriment de l'intérêt collectif. En effet les autres sont obligés de payer les matières premières plus chères que ce qu’elles valent vraiment.

Autre exemple, et c’est ce qui avait motivé mon envie d’écrire un peu sur le sujet. Je ne conteste pas le rôle de la bourse. Les entreprises ayant besoin d’investir peuvent ainsi se procurer des liquidités pour réaliser des projets. Les investisseurs ayant prit le risque de croire à la réussite du projet, seront récompensés par le versement d’un dividende sur les bénéfices réalisés. Soit! Par contre, on ne peut pas dire que quelqu’un qui achète une grande quantité d’action d’une entreprise à 10h00 pour les revendre à 10h30, voir avant, soit vraiment sensibilisé au problème de l’entreprise. On se détourne du but initial... C’est un peu comme si une personne qui ne sait pas nager vous demande de l’aider à traverser une rivière et qu’en plein milieu de la rivière celui qui à proposer son aide décide de se retirer...

Il serait peut être souhaitable que l’état impose aux personnes qui investissent en bourse un délais minimal de garde pour éviter des fluctuations de cours dû à la spéculation. Ou alors, pour laisser la liberté aux porteurs de titres de choisir, que le dividende soit payé au prorata du temps de garde. Ce serait plus juste et cela éviterai que certains s’enrichissent simplement parce qu’ils avaient de l’argent et la bonne information. Là encore, il s’agit d’un enrichissement injuste qui se fait au détriment des autres.
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