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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 09:13

Aussi dures soient les épreuves, nous ne devons jamais perdre notre capacité à aimer. C'est en la préservant que nous pourrons la transmettre.

Nous transmettons ce que nous avons
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26 janvier 2014 7 26 /01 /janvier /2014 12:31

La nature est belle, sauvage et nous semble parfois cruelle. Qu'un animal naisse avec une faiblesse, un handicap, à proximité d'un prédateur qui a faim et ses chances de survie sont fortement compromises. Il arrive même que ce soient ses propres parents qu'ils le mangent si leur survie est en danger.

 

 

En tant qu'humain, tous ces comportements, ces fatalités, nous les avons rejetés en bloc. Dans notre société nous maximisons les chances de survie de chaque enfant qui nait, même s'il nait handicapé ou malade. Ce qui vaut pour les enfants vaut aussi pour les personnes âgées ou accidentées. Nous augmentons les chances de survie là où la nature ne leur en laisserait aucune.

 

 

Nous faisons tout ça car nous avons un idéal d'Humanité. Notre libre-arbitre nous fait choisir l'entraide au chacun pour soi, le respect à l'indifférence. Nous savons que ces comportements nous rendent plus humains et nous éloignent du monde "sauvage et sans pitié".

 

 

Pour autant, dès qu'il s'agit de justifier notre consommation de la viande, nous nous retranchons de manière compulsive derrière l'image du lion et de la gazelle. Nous justifions l'horreur de l'holocauste que nous faisons subir aux animaux que nous consommons en prenant à témoin le lion qui lutte pour sa survie. Au-delà de l'aspect prétentieux d'une telle comparaison, il est difficile de comprendre pourquoi on s'appuie sur celle-ci. En effet, nous sommes incapable de chasser à main nue. Nous sommes incapable de déchirer la peau d'un animal avec nos dents, incapable de nous réjouir et de saliver devant une carcasse encore fumante et dégoulinante de sang, incapable de consommer la chair froide baignant dans son sang. Nos canines ridicules ( dont nous pensons qu'elles valident notre nature carnivore) rendraient mort de rire le plus petit des lionceaux. Bref, nous n'avons strictement rien en commun avec sa majesté le lion. Mais cette image à la vie dure car elle résulte d'un conditionnement récurrent dans notre éducation. Il nous faut même changer les mots, ne plus parler de carcasse ou cadavre mais de viande. On a créé le mot viande pour parler d'un morceau de cadavre.

 

 

Si l'homme en situation de survie est capable d'aller jusqu'au cannibalisme, nous concevons sans peine que le cannibalisme est hors du champ de la normalité. Et ce n'est un scoop pour personne, nous ne sommes plus en situation de survie. Le paradoxe c'est que si consommer de la viande nous a aidé à survivre à une époque, aujourd'hui consommer de la viande met clairement notre survie en danger. Alors pourquoi s'obstiner ?

 

 

Pourquoi s'obstiner à entretenir cette incohérence qui consiste à bannir les comportement sauvages et entretenir et développer à l'extrême l'horreur de l'industrie de la viande ? Car soyons lucides, l'industrie de la viande est devenue bien plus cruelle que toute la cruauté que la nature aurait pu imaginer. Le lion ne tue que s'il a faim. Alors que nos comportements par ailleurs tendent à élever notre humanité, l'industrie de la viande nous rabaisse à l'être le plus cruel de la création. Tout nos progrès moraux, éthiques et spirituels se voient anéantis dans les abattoirs et nos assiettes. Nous torturons comme aucun être ne torture, nous tuons comme aucun être ne tue et le plus cruel et absurde dans tout cela, sans aucune réelle nécessité...

 

 

Le sens du progrès, de l'évolution doit nous rendre plus éthiques, plus compatissants, plus humains puisque nous souhaitons nous différencier des animaux sauvages. Nous devons faire de la planète un havre de paix pour tous les êtres sensibles et non un immense abattoir.

 

 

Faisons du respect de la vie notre leitmotiv pour un avenir meilleur.

Nous ne sommes pas des lions
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4 septembre 2013 3 04 /09 /septembre /2013 13:27

La compassion ne peut se dissocier de l'action. Prendre conscience de la souffrance des êtres sensibles doit naturellement nous pousser à l'action pour mettre un terme à la souffrance.

Compassion dans sa définition veut dire "souffrir avec". Si la souffrance d'autrui n'engendre aucune action, c'est qu'on se complait dans cette souffrance qui au final ne nous fait pas tant souffrir que ça. À l'inverse, si nous ressentons vraiment la souffrance d'autrui dans notre cœur, agir devient la seule solution. Agir peut prendre plusieurs forme mais agir est incontournable.

Agir avec compassion c'est avant tout agir pour que la souffrance cesse. C'est agir avec discernement pour ne pas éteindre un feu avec de l'huile mais agir pour rétablir l'harmonie. Il ne s'agit pas d'inverser un rapport de force mais de rétablir un équilibre. C'est ce qui la différencie de l'action animée par la colère ou la haine qui ne fait que poursuivre le mécanisme de destruction.

La compassion rime avec action et ne s'exprime qu'à travers elle.

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26 juin 2013 3 26 /06 /juin /2013 14:08

Il n'existe aucune force supérieure à l'amour. Les autres semblent d'accès faciles mais sont ô combien moins puissantes.

En devenant une source d'amour il devient impossible de se laisser envahir par la haine. Un rayonnement conscient est toujours plus fort qu'un rayonnement subit. Abandonnons la quête futile d'une armure pour se protéger, laissons simplement rayonner notre cœur emplie d'amour et de compassion et rien ne pourra nous envahir.

Que tout ceux qui veulent voir l'amour triompher dans ce monde aient le courage d'aimer en premier là où chacun attend que son voisin commence. À chaque fois que l'un de nous le fait, c'est l'amour du monde qui grandi.

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 16:40
Voici un article à méditer

source:

 

http://www.scienceshumaines.com/mepris-des-animaux-et-racisme-une-meme-logique_fr_30430.html

Article de la rubrique « Actualité de la recherche »
Mensuel N° 247 - avril 2013
Violence : les paradoxes d'un monde pacifié

 

Mépris des animaux et racisme : une même logique


Thomas Lepeltier


Naguère, les Noirs ont été comparés à des singes et les Juifs à de la vermine. Or, réfléchissant sur l’Holocauste, Theodor Adorno avait laissé entendre qu’un phénomène comme l’extermination des Juifs à Auschwitz commence lors­que l’on regarde un abattoir et qu’on laisse faire en se disant que ce ne sont que des animaux.


La logique de son raisonnement était simple : si une personne trouve légitime d’abattre sans nécessité des animaux, elle ne verra pas de problème moral à ce que l’on agisse de même envers tout groupe d’humains rabaissés au rang de l’animalité. On comprendra facilement pourquoi cette thèse d’Adorno est souvent mise en avant par les défenseurs de la cause animale. Mais que vaut-elle ? Kimberly Costello et Gordon Hodson, deux psychologues de l’université Brock (Ontario, Canada), viennent justement de développer des procédures expérimentales pour la tester. En 2010, après avoir soumis toute une série de questionnaires à des étudiants socialement bien intégrés, ils avaient montré que plus ces individus perçoivent les animaux comme proches des êtres humains, plus ils adoptent une attitude accueillante envers des groupes marginalisés, comme les immigrés.


Dans une nouvelle étude, les deux chercheurs viennent d’étendre ce type d’analyse aux enfants. Ils ont étudié le rapport pouvant exister entre la façon dont des enfants considèrent les êtres humains vis-à-vis des animaux et leur tendance à déshumaniser, ou animaliser, des individus d’une autre origine ethnique que la leur. Les résultats ont alors montré que plus les enfants blancs ont tendance à considérer les humains com­me supérieurs aux animaux, plus ils expriment des préjugés négatifs à l’encontre des enfants noirs.


Dans un article du New Scientist, K. Costello et G. Hodson n’hésitent pas à aborder les implications politiques de leurs travaux. Étant arrivés à la conclusion que la tendance à déshumaniser certains groupes d’humains se nourrit d’un sentiment de supériorité vis-à-vis des animaux, ces deux psychologues estiment nécessaire d’accorder plus de droits aux animaux, comme cela a déjà été fait pour les Noirs, les femmes, les homosexuels, etc. Mais la société est-elle prête à accepter l’idée que la façon dont elle traite certains êtres humains est influencée par la manière dont elle traite les animaux ?

 

Kimberly Costello et Gordon Hodson, « Explaining dehumanization among children: The interspecies model of prejudice », British Journal of Social Psychology, 2012, et « The human cost of devaluing animals », New Scientist, 15 décembre 2012.

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 10:32

Socrate avait, dans la Grèce antique, une haute réputation de sagesse.
Quelqu'un vint un jour trouver le grand philosophe et lui dit :
- Sais-tu ce que je viens d'apprendre sur ton ami?


- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes, j'aimerais te
faire passer un test, celui des trois passoires.


- Les trois passoires?


- Mais oui, reprit Socrate. Avant de raconter toutes sortes de choses sur
les autres, il est bon de prendre le temps de filtrer ce que l'on aimerait
dire. C'est ce que j'appelle le test des trois passoires. La première
passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est
vrai?


- Non. J'en ai seulement entendu parler...


- Très bien. Tu ne sais donc pas si c'est la vérité. Essayons de filtrer
autrement en utilisant une deuxième passoire, celle de la bonté. Ce que tu
veux m'apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bien?


- Euh non. Au contraire.


- Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et
tu n'es même pas certain qu'elles soient vraies. Tu peux peut-être encore
passer le test, car il reste une passoire, celle de l'utilité. Est-il utile
que tu m'apprennes ce que mon ami aurait fait?


- Non. Pas vraiment.


- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni vrai, ni
bien, ni utile, pourquoi vouloir me le dire?

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 10:22

Dès que nous parlons de compassion, immanquablement les mêmes questions reviennent. Le malentendu réside essentiellement dans le fait qu’on assimile la compassion à une sorte de soumission, d’une gentillesse naïve et passive. Parce qu’on fait preuve de compassion on se laisserait manipuler, abuser et marcher sur les pieds.

Objectivement tout cela n’a rien à voir. Agir avec compassion, ne veux pas dire ne rien faire. Nous pouvons agir fermement s’il le faut mais toujours avec compassion. Pour prendre un exemple concret, lorsque nos enfants font des bêtises, nous savons nous montrer fermes sans pour autant emplir notre coeur de haine. Certes, il arrive que la colère déborde un peu, mais face à nos enfants, et quelles que soient leurs bêtises, notre coeur reste sans haine. Heureusement d’ailleurs... Notre fermeté est motivée par notre amour. On comprends tous qu’aimer ses enfants ne veut pas dire les laisser faire ce qu’ils veulent ou se laisser manipuler par eux.

Cultiver la compassion change essentiellement notre manière d’agir face aux situations mais ne nous expose pas pour autant à la méchanceté des autres. D’ailleurs être colérique ou s’autoriser la haine, n’a jamais rendu notre vie plus facile... Et il est même certain que cultiver la compassion facilite plus souvent la vie que ce qu’elle ne la complique. Elle permet en général d’avoir des réactions plus saines et mesurées lors d’une situation conflictuelle.

Gandhi disait que la non-violence c’est agir avec la force de l’âme. C’est ce dont il s’agit ici. Alors bien sûr ce n’est pas au moment où une situation conflictuelle survient qu’on peut spontanément faire s’élever la compassion en nous. On ne peut pas se dire qu’on « travaillera » la compassion le jour où nous en aurons besoin. La compassion se cultive tous les jours, elle doit devenir naturelle pour que le moment venu elle s’élève naturellement à la place de la haine.

La haine, la colère ou la compassion ne sont pas l’action, mais plutôt l’état d’esprit avec lequel on agit. La nuance est de taille, en aucun cas la haine ou la colère ont le privilège de l’action.

Justifier notre haine par l’attitude de l’autre reviendrait à accepter le fait que la haine de l’autre puisse également avoir une cause. Et ce, même si celle-ci nous échappe. Notre haine ne serait donc pas plus légitime que la sienne.


On peut passer des années à vouloir apprendre à se battre pour faire face le jour où... De la même manière il n’est jamais vain de cultiver la compassion pour qu’en cas de nécessité ce soit la compassion qui colore notre action et non la haine ou la colère. Nos réactions n’en seront que meilleures.

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 10:00

Nos salles de cinéma sont pleines de super héros aux super pouvoirs qui sauvent le monde. Certainement le besoin d’entretenir le mythe du sauveur de l’humanité. Bizarrement, nos super héros, ne sauvent pas le Darfour, l’Ethiopie, où n’importe qu’elle autre région du monde où se développe la famine et la misère. Non! Nos supers héros préfèrent en général sauver l’Amérique. Et même lorsque les extra-terrestres attaquent, c’est souvent en Amérique. A croire que le rêve américain a franchi les frontières de notre Voie Lactée et poussent les êtres des galaxies lointaines à rendre visite à la patrie de l’oncle SAM.

Plus sérieusement, si nous regardons l’état du monde, et réfléchissons un instant aux super pouvoirs qu’il faudrait posséder pour le sauver, on s'apercevra que voler dans les airs, posséder un super rayon laser, avoir une force surhumaine, une super technologie ou que sais-je encore ne serait pas vraiment d’une grande utilité...

Les super pouvoirs qu’il nous faudrait pour sauver le monde, nous les avons tous, mais c’est plus facile de rêver de superman, que de réveiller nos pouvoir enfouis... On se sent moins impliqué...

quels sont nos super pouvoirs? Inutile de chercher plus loin, nous les connaissons tous.

Amour, solidarité, compassion, altruisme, tolérance. C’est vrai, ça peut surprendre, mais imaginez un seul instant un monde où ces valeurs seraient partagées par tous.

si nous avons besoin de super pouvoirs, nous n’avons pas besoin de plus que ceux-là. Qu’une partie de la population devienne invincible, ne rendra pas le monde plus juste et équitable. Que les gens soient imprégnés de solidarité, de compassion et d’amour pour les autres, et le monde mangera à sa faim.

Malheureusement, nous sommes toujours empêtrés dans les théories confortables du style: c’est pas notre fautes, c’est la faute des autres, si les autres changent, nous changerons, etc, etc.

Il est là notre manque de courage. Quel effort sommes nous prêt à faire pour mieux vivre ensemble? Que nous faut-il pour que nous ayons le courage de l’amour, la solidarité, la compassion, l’altruisme et la tolérance?

Il faut inverser le sens de la réaction en chaîne. arrêter de se dire qu’on devient violent car l’autre est violent, qu’on devient égoïste car l’autre est égoïste. C’est un peu trop facile, on se limite ainsi à n’être que la réaction du comportement de l’autre. Pour inverser la tendance, il faut du courage. Il faut aimer pour que l’autre finisse par abandonner la violence, donner pour que l’autre abandonne l’égoïsme et ainsi de suite. Nous devons choisir la réaction en chaîne que nous souhaitons. Si nous nous disons capable de changer si les autres changent, alors ne doutons pas que changer notre attitude peut faire changer les autres.

Ces super pouvoirs sont à notre portée, il ne nous faut pas grand chose pour les développer. Nous pouvons tous être des super héros qui sauvent le monde. C'est peut-être utopiste, mais entre regarder un superman qui sauve l’Amérique ou rêver un monde où chacun aurait foi dans notre capacité à aimer, le choix et vite fait...

Objectivement, il est plus facile d’apprendre à aimer son prochain, à partager, plutôt que de voler dans les airs et soulever une locomotive d’un doigt...

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18 janvier 2013 5 18 /01 /janvier /2013 15:00

Souvent lorsqu’on rencontre un ami dans la rue ou ailleurs, on s’arrête, on discute on rigole et on se dit au revoir le sourire aux lèvres. Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce sourire ne disparaît jamais tout de suite. On l’emporte avec nous, il nous accompagne quelques instant encore, car notre visage ne serait revenir instantanément à l’expression fermée qui était peut-être la notre avant la rencontre. C’est un fait, souvent nous marchons le visage fermé. Que ce soit dans la rue, le métro ou le train, notre visage à tendance à se fermer comme si nous voulions être le plus neutre possible. Nos relations avec les autres se limitant à s’éviter pour ne pas se bousculer.

Fort heureusement, cette fermeture n’est pas aussi ferme que ça, et les occasions ne manquent pas pour la faire disparaître quelques instants. Par exemple, lorsque nous sommes en voiture et que nous nous arrêtons pour permettre à une personne de traverser ou une voiture de pouvoir s’engager, nous sommes souvent remercié par un large sourire, un geste de la main amical, qui pendant quelques instant encore maintiendra les protagonistes dans une sorte d’attitude mentale positive. On oublie les soucis quelques secondes pour vivre cette petite émotion passagère échangée avec un inconnu. Ce n’est pas grand chose, mais lorsque nous sommes dans un état d’esprit plutôt positif, nos réactions sont en générale plus saine ou plus humaine.

Par exemple, si un homme apprend au réveil que sa femme le quitte, ou/et qu’il est licencié et que marchant dans la rue une jolie fille lui marche malencontreusement sur le pied avec son talon aiguille, il y a de fortes chances que sa réaction soit plutôt désagréable: “tu peux pas faire attention espèce de ....., regarde où tu marches”. A l’inverse, si ce même bonhomme viens de gagner au loto ou que sont amie vient d’accepter sa demande en mariage, à la même situation il risque de réagir de façon bien différente: “ Ce n’est pas grave, je vous en prie, ce n’est rien”. Le tout dit avec un grand sourire. C’est souvent ainsi que nous fonctionnons. La façon dont nous réagissons aux situations que nous vivons sont largement dépendantes de l’état d’esprit dans lequel nous nous trouvons. Les situations sont souvent neutres, et c’est avec notre état d’esprit que nous les colorons.

C'est peut-être idiot idiot, mais je crois beaucoup à ces petits riens qui font beaucoup. Dans les grandes métropoles où nous nous croisons sans cesse, j’ai la conviction que ces petits gestes anodins comme par exemple laisser passer quelqu’un, aider une personne, ramasser un objet que quelqu’un a laissé tomber, nous aident à nous respecter, nous entraider, à nous maintenir dans un état d’esprit plutôt positif qui fait que nos réactions sont plus saines. Bien sûr on a pas toujours un stylo à ramasser ou une personne à laisser passer, mais nous pouvons toujours faire l’effort d’avoir un visage ouvert, un visage naturellement souriant plutôt qu’un visage fermé et triste. Ça fait du bien à soi et ça fait du bien aux autres. Car nous sommes en perpétuelle interaction avec les autres, le sourire est communicatif, l’indifférence aussi. Alors à choisir, il vaut mieux transmettre la joie. C’est notre contribution personnelle à l’état d'esprit général.

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 14:47

Voici une très belle conférence, qui montre à quel point être vulnérable et imparfait n'a rien de problématique. A regarder si vous avez un peu de temps.

 

Les sous-titres en français sont disponibles.

 

 

 

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